LE PROJET
La harpe a une place spéciale dans l’imaginaire collectif, elle suscite la curiosité car rares sont ceux qui la connaissent vraiment. Avec ses 47 cordes, c’est un instrument qui a toutes les chances de faire vibrer plus d’une corde sensible… Mais si la harpe garde cette image de magie, de douceur, c’est aussi parce qu’on l’entend très souvent dans le même registre, le même répertoire.
Léa Mesnil a toujours été amoureuse de cet instrument, et après de longues années de relation passionnelle, elle a souhaité raviver la flamme en emmenant sa harpe sur des chemins encore inconnus. Tout en gardant la magie, elle explore toutes les facettes musicales, ne s’interdit rien. Profitant de sa formation technique solide au CNSMD de Lyon, de son brin de voix sensible, et de son âme de poète nomade, elle nous fait voyager de Bach jusqu’à Radiohead, ose mêler Mozart avec le jazz, se risque à Schubert mais aussi à Amy Winehouse ou encore ABBA. Sa recherche d’innovations l’amène donc à des répertoires jamais ou rarement entendus à la harpe, aussi bien en baroque, en passant par le classique, le romantisme, et pour arriver aux musiques actuelles… Sa pratique de l’improvisation lui permet une grande souplesse d’interprétation, puisqu’elle tient à ce que chaque instant musical soit humain, unique et fort.
MÉDIAS
LES ARTISTES
Léa Mesnil
Née au cœur de la Bretagne, Léa Mesnil tire de ses origines une énergie puissante et une passion dévorante qui l’animent depuis l’âge de 5 ans. Après 10 années de complicité avec sa harpe celtique sur de nombreuses scènes de festoù noz et bals folks françaises et européennes, elle l’abandonne finalement au profit de la grande harpe. Cette dernière l’amènera sur les chemins de l’orchestre, qui garde depuis un intérêt particulier au yeux de la harpiste. Ainsi, elle aura la chance de jouer au cœur d’orchestres tels que Deutsche Radio Philharmonie Saarbrücken Kaiserslautern ou l’Orchestre Régional Avignon Provence mais également sous les baguettes prestigieuses de Mikko Franck, Samuel Jean ou encore le harpiste et chef d’orchestre Fabrice Pierre. Sa rencontre avec ce dernier la conduira à intégrer le CNSMD de Lyon où elle prolonge actuellement son apprentissage. Loin de l’image angélique de son instrument, Léa s’emploie, tant en récitals qu’en concerts de musique de chambre, à dépoussiérer la harpe en l’emmenant vers des répertoires qui lui sont encore étrangers tels que le jazz, la pop ou encore le tango…
LES BESOINS TECHNIQUES
Prise en charge du déplacement de la harpe depuis le domicile de l’artiste ou un lieu disposant d’une harpe jusqu’au lieu de l’évènement musical : nécessite un véhicule de grande taille ayant la possibilité de rabattre complètement au moins un des sièges arrières.
Si l’évènement est en extérieur : une sonorisation peut être nécessaire (pour la harpe uniquement, qui dispose d’un dispositif interne de micro, ou pour la harpe et un micro voix selon la formule).
Emplacement de jeu : surface solide et plate, sans irrégularités ou trous pour la bonne stabilité de l’instrument.
Siège de piano/chaise réglable et statique pour chaque performance